UN PEU D’HISTOIRE

UN PEU D’HISTOIRE

Un piano à queue Broadwood & Sons, construit à Londres, en attente de parcourir le long chemin de la restauration.

Remarquez que les cordes de graves ne sont pas croisées, comme c’est le cas avec les pianos à queue modernes.

Ce concept, dont la paternité à été accordé à Heny Steinway en 1859, permet un belle économie d’espace. La structure de métal est également de conception ancienne.

La facture de ce piano remonte sans doute aux années 1840. La conception ancienne des pianos carrés fait en sorte que la restauration de tels instruments ne se fait plus, sauf pour répondre aux demandes de collectionneurs.

 

 

Pour qui s’y intéresse, il y a beaucoup de renseignements disponsibles sur l’histoire et l’évolution du piano. Le piano moderne date du milieu du XIXe siècle. Le plus gros défi avait trait au cadre du piano, lequel devait soutenir des milliers de livres de tension. Ce n’est que vers la fin des années 1800 que les fonderies ont mis au point de nouvelles techniques permettant de produire des cadres en fonte pure capables de résister aux énormes tensions qu’impose un piano. Les ancêtres du piano moderne, le clavecin puis, plus tard, le piano carré, étaient nettement inefficaces à cet égard. Toujours est-il que le cadre en fonte, le sommier, le chevalet et les mécanismes du piano sont demeurés pratiquement inchangés depuis presque cent ans.

Willis Piano company factory 1912 Mobile Piano Dealer
Piano manufacturing turn of the century

 

Je veux maintenant parler un peu de l’histoire de l’industrie du piano en Amérique du Nord; de sa période de gloire, lorsqu’elle comptait à son apogée plus de 1 000 manufacturiers produisant au-delà de 350 000 unités, jusqu’à son déclin d’aujourd’hui où on ne compte plus qu’une poignée de fabricants, dont la classique compagnie Steinway & Sons comme chef de file.

Au tournant du siècle dernier, l’industrie du piano occupait une position dominante sur le marché de la consommation. Un piano droit se vendait en moyenne 400 $, somme plus que rondelette puisqu’elle équivalait à peu près au salaire annuel moyen de l’époque. La production en série de biens de consommation était cependant pratiquement inexistante. Les ordinateurs, la télévision, les postes radio et même les automobiles n’avaient pas encore été inventés. L’industrie du piano mettait ses produits en valeur comme articles de luxe essentiels. Le fait de posséder un piano était perçu comme un symbole de classe et de culture, et le piano est également devenu le point d’attraction des réunions de famille. Par la suite, l’enseignement du piano a été ajouté au programme élémentaire d’études de musique. Pour répondre à cette nouvelle demande, des industries connexes ont fait surface, comme par exemple l’accordage de pianos, la vente de partitions, et, bien évidemment, le déménagement de pianos.

 

La fabrication d’un piano est un processus complexe : de la fonderie qui produit le cadre en fonte jusqu’aux petites pièces mobiles des mécanismes. L’évolution de la fabrication du piano est passée de petites entreprises artisanales individuelles, produisant quelques douzaines d’instruments par année, à la mécanisation et à la production en masse où de grosses compagnies en rachetaient de plus petites ou fusionnaient tout simplement avec elles afin d’accroître la production. Bien que l’industrie du piano était surtout concentrée à New York et au Massachussetts, Montréal comptait aussi plusieurs manufacturiers de grand renom. L’enseigne délavée de l’illustre compagnie Willis Pianos est encore visible aujourd’hui au 580 de la rue Sainte-Catherine ouest. Au sommet de sa gloire, cette entreprise a fabriqué presque 3 000 pianos. D’autres fabricants ont aussi laissé leur marque à Montréal, dont la Craig Piano Company, les Pianos Pratte, la compagnie Langelier (à Sainte-Thérèse), la compagnie David & Michaud, la compagnie Lesage et, bien sûr, la compagnie Layton Brothers (Jack Layton, l’ancien chef du NPD, était le petit-fils d’un des frères Layton).

 Heintzman print ad Expo 67 

 

Des douzaines de petits ateliers étaient aussi présents sur la scène. Qu’on songe à S. R. Warren, à Oswald Michaud, ou à Georges Ducharme qui fabriquaient localement, entre autres, les pianos Beethoven. La plupart des petites entreprises n’ont pas survécu bien au-delà du début du XXe siècle, puisque la production en série favorisait les grandes firmes. Les pianos Lesage ont racheté la Craig Piano Company en 1930, la compagnie Bell Piano en 1934 et la compagnie Weber Piano en 1939, et se sont mis à fabriquer des pianos portant les marques Bell, Mendelssohn, Schumann et Belmont. 

La Grande Crise de 1929 conjuguée à l’invention de la radio et de l’automobile ont mis la demande d’articles de prestige en veilleuse. À toutes fins pratiques, la fabrication de pianos a fini en queue de poisson à la fin de la guerre si bien qu’aujourd’hui, il n’existe plus une seule compagnie au Canada qui fabrique encore des pianos. Aux États-Unis, les seuls facteurs qui restent sont Steinway et Mason & Hamlin. Comme pour la plupart de nos produits de consommation, c’est la Chine qui fabrique les pianos que nous pouvons maintenant acheter.

 

Le fait que des pianos plus anciens soient toujours disponibles et qu’ils fonctionnent encore témoigne éloquemment de la qualité de leur facture. L’industrie du piano a été l’une des premières à produire à grande échelle des articles de consommation désignés non essentiels. C’était le début de l’âge d’or de l’industrie manufacturière en Amérique du Nord.

c.1900 Clamps from the Steinway and Sons piano company factory
Antique piano hand tools

L’omniprésence des pianos construits au Canada n’est plus, mais ces instruments demeurent les témoins silencieux d’une époque révolue.

Les documents historiques traitant du déménagement des pianos sont difficiles à trouver. Les chevaux, les voitures et les câbles ont éventuellement été remplacés par des camions et des chariots. Pour hisser un piano jusqu’au deuxième étage, on avait recours, à l’époque, à un sytème de poulies. Jusqu’au milieu du siècle dernier, les déménageurs devaient s’en tenir exclusivement aux gros pianos droits, abondamment ornés.

 

 


Entretien

 

À la base, un piano c’est une caisse en bois munie d’un cadre en fonte, de cordes tendues d’un bout à l’autre, et de mécanismes qui frappent les cordes produisant ainsi des sons. N’oublions pas que le piano est un instrument à percussion. Les mécanismes du piano comportent plus de    9 000 pièces distinctes. Les 200 cordes et plus qui sont fixées sur votre piano exercent une tension dépassant les 18 tonnes! La remarquable technologie sous-tendant les mécanismes du piano remonte en fait à la fin du XIXe siècle et est demeurée pratiquement inchangée depuis. Les pianos modernes comportent encore des pièces en bois montées sur un cadre en fonte.

 

1. Où placer votre piano

Le pire endroit que vous puissiez choisir pour placer votre piano est près d’un radiateur ou au-dessus dune sortie d’air réchauffé. L’air chaud fera fluctuer la température et le taux d’humidité mettant ainsi votre piano à rude épreuve. C’est incroyable la vitesse à laquelle la chaleur peut littéralement détruire un piano. 

Il est recommandé, mais non essentiel, d’éviter de placer votre piano près d’une fenêtre. Tant que la lumière du soleil ne réchauffe pas la surface du piano, tout ira bien.

Il fut un temps où on vous dissuadait de placer votre piano contre un mur extérieur, mais les techniques d’isolation modernes font en sorte qu’il n’y a plus lieu de s’inquiéter.

Les fenêtres aussi sont beaucoup mieux isolées de nos jours. Si vous devez absolument placer votre piano près d’une fenêtre et que celle-ci laisse entrer beaucoup de lumière, il serait prudent d’installer un store ou un rideau. Vous avez sans doute remarqué ce que l’exposition prolongée à la lumière intense peut causer comme dommages à des rideaux ou à une table de salon.

Le designer d’intérieur d’un de nos clients insistait pour que le piano soit placé directement devant la fenêtre en baie du salon. Et bien, au bout d’à peine deux ans, ce même client nous appelait pour que nous restaurions son piano. La lumière du soleil avait fini par dessécher complètement le fini lustré de laque noire, lui donnant l’aspect d’une ‘‘ peau de crocodile ’’.

 

2. Nettoyage

Évitez d’utiliser des encaustiques pour meubles, surtout ceux qui contiennent de la silicone. Un linge en microfibres (nouvelle étoffe douce et absorbante qui ne laisse pas de peluches) nettoiera très bien sans laisser de peluches et sans abîmer le fini. Les pianos laqués (poli étincelant, habituellement noir) sont très fragiles et faciles à égratigner.

 Comment nettoyer les touches :

Les touches jaunies sont habituellement faites d’ivoire qui a vieilli. Comme c’est le cas pour vos dents, il est presque impossible d’enlever complètement les taches jaunes. Un technicien compétent peut cependant poncer et polir les touches de votre piano. Les touches des pianos fabriqués au cours des trente dernières années sont recouvertes de matière plastique qu’il est facile de nettoyer à l’aide d’une solution de détergent doux et d’un linge en microfibres, ou un autre linge doux, légèrement mouillé (un linge trop mouillé laissera couler de l’eau entre les touches, les faisant gauchir). Utilisez un autre linge pour nettoyer les touches en ébène (les touches noires),

 Comment nettoyer l’intérieur du piano :

Les mécanismes d’un piano sont très fragiles; aussi, leur nettoyage devrait-il être confié à un technicien de pianos. Les pianos à queue en particulier ont tendance à amasser de la poussière, surtout si le couvercle demeure toujours ouvert. La poussière et les saletés s’accumulent au fil des ans et sont difficiles à retirer. Le technicien se servira habituellement de nettoie-pipes. C’est un travail long et fastidieux. Pour éviter ce problème, il suffit de fermer le couvercle et le couvre-touches lorsque vous ne vous servez pas de votre piano.

 

3. Température et humidité

On croit à tort qu’il faut entreposer un piano à la température normale d’un logement, ou même à quelques degrés de plus. L’élément clé pour maintenir un piano en bonne condition est l’humidité relative. Un piano exposé année après année à des conditions de forte humidité en été et d’intense sécheresse en hiver prendra vite de l’âge. C’est impressionnant de voir la différence entre un piano de 75 ans don’t l’environnement a été maintenu à un taux d’humidité constant et un piano du même âge qui a été entreposé dans un sous-sol humide ou une pièce surchauffée. Des changements subits du taux d’humidité occasionneront l’expansion et la contraction des pièces du piano, qui entraîneront à leur tour une foule de problèmes : des cordes qui rouillent, de la colle qui se dessèche, des pièces qui se brisent, etc. N’oublions pas que la plupart des pièces des mécanismes d’un piano sont en bois.

CE QU’IL FAUT RETENIR PAR-DESSUS TOUT C’EST QUE LE PIRE ENNEMI DE VOTRE PIANO, SURTOUT DANS NOTRE CLIMAT, C’EST L’AIR CHAUD ET SEC! J’aime bien raconter l’histoire d’un de mes collègues accordeurs à qui on avait demandé d’accorder un piano au début du mois de décembre en prévision d’une réunion de famille dans le temps des Fêtes et au cours de laquelle tout le monde allait chanter. Le piano avait été placé dans un renfoncement au milieu d’un mur qui avait dû, à lépoque, accueillir une truie (poêle à bois) ou une armorie encastrée. L’accordeur était retourné sur les lieux, un an plus tard, pour constater qu’à toutes fins pratiques le piano était encore parfaitement accordé. La conclusion qu’il faut tirer de cette histoire c’est que le piano avait été placé dans un endroit à l’abris des courants d’air et qu’il n’avait ainsi subi aucune fluctuation de température ou de taux d’humidité.

Les opinions sont diverses quant au taux d’humidité optimal pour un piano. À notre avis, un taux se situant entre 35 % et 55% convient parfaitement, mais ce qui importe c’est de le maintenir constant, donc le plus stable possible, tout au long de l’année et d’éviter les grands écarts. En hiver, il est préférable d’abaisser la température de la pièce de quelques degrés puisque l’air frais est plus humide.

Les systèmes modernes de chauffage et de climatisation sont munis d’humidostats qui permettent d’assécher l’air en été et de l’humidifier en hiver. Si votre logement n’est pas équipé d’un système de chauffage par ventilation forcée, vous pourriez choisir de vous procurer un humidificateur portatif ou encore un système de contrôle hygrométrique pour pianos de la société Dampp-Chaser, appelé Piano Life Saver. Ce système, qui coûte en moyenne entre 300 $ et 500 $, règle automatiquement le niveau d’humidité de votre piano.

 

4. Entreposage

Si vous devez entreposer votre piano, renseignez-vous sur les conditions qui règnent dans les installations d’entreposage. N’entreposez jamais votre piano dans un local non chauffé. Des dommages irréparables seront causés à l’instrument si vous le laissez pour plus de 2 jours dans un endroit où la température est inférieure au point de congélation. Par ailleurs, il importe que le taux d’humidité (environ 45 %) soit maintenu de façon constante.

Transport & Accord offre des services d’entreposage de courte durée, mais aussi de longue durée, dans des locaux dont l’ambiance est contrôlée. 

 

5. Accordage

Il est recommandé de faire accorder votre piano au moins une fois par année. Les pianos de concert sont accordés plusieurs fois par mois et toujours avant chaque concert. À la suite d’un déménagement, nous suggérons à nos clients d’attendre quelques jours avant de faire accorder leur piano afin de lui permettre de s’acclimater à sa nouvelle demeure. Nous offrons nos services d’accordage à prix réduit à tous nos clients qui ont fait affaire avec nous pour déménager leur piano.


Achat

Un piano peut compter au-delà de dix mille pièces, de quoi effectivement intimider tout acheteur potentiel. Je vais donc donner ici les éléments de base du marché du piano pour permettre au nouvel acheteur, ou à ceux qui s’y connaisent peu dans le domaine, de mieux s’y retrouver. Vous trouverez donc ici des renseignements généraux concernant la terminologie du piano et les principaux pièges à éviter.

Si vous achetez un piano pour un débutant, il n’est pas nécessaire d’investir de grosses sommes pour faire l’acquisition d’un premier piano. Résistez cependant à la tentation d’adopter le vieux piano sonnant la feraille que quelqu’un veut vous donner. En plus des dépenses sans fin qu’un instrument de la sorte va certainement entraîner, et qui pourrait finir par vous coûter bien plus cher qu’un piano de bonne qualité, le pianiste débutant se sentira vite découragé par les touches et les pédales coincées, les cordes brisées, etc. Tous ces ennuis auront tôt fait de miner l’enthousiasme du débutant et de vider votre portefeuille!  

Un piano se révèle un excellent investissement si vous le choisissez avec discernement. Et si jamais vos efforts pour apprendre à jouer de l’instrument tombaient à plat, vous pourrez toujours vendre votre piano pour à peu près la même somme que vous l’aviez payé.

 

Il importe de tenir compte des éléments suivants :

1. L’espace

 

  • Un piano droit mesure à peine un peu plus de 5 pi de largeur, et entre 3 pi et 5 pi de hauteur et entre 2 et 2 ½ pi de profondeur. En allouant 2 autres pieds bour le banc, il vous faudra donc prévoir un espace total de 5 pi sur 4 1/2 pi. 

  • Les pianos à queue ont normalement 5 pi de large (le clavier) et entre 4 ½ pi et 9 pi de long. Un piano à queue de 5 pi ou de 6 pi convient parfaitement dans la plupart des demeures, à moins que vous ne soyez un musicien professionnel. Donc, en allouant 2 autres pieds pour le banc et le pianiste, il faudra prévoir un espace total d’environ 8 pi sur 5 pi.

Il est fortement recommandé de placer votre piano loin des radiateurs, des sorties d’air réchauffé, des foyers, et des fenêtres sujettes au courants d’air, ou encore de la lumière solaire directe.

      En négligeant de tenir compte de ces recommandations, il sera extrêmement difficile de garder votre piano accordé et, dans le pire des cas, votre instrument pourrait subir des dommages structurels prématurés. J’ai vu à plusieurs reprises les ravages causés par la chaleur et le soleil. Un client, suivant les conseils de son décorateur d’intérieur, a placé son piano à queue Yamaha de 7 pi tout près d’une fenêtre en baie. Lorsque nous sommes allés le déménager, à peine un an plus tard, le verni avait l’aspect d’une peau de crocodile. L’exposition quotidienne à la lumière solaire directe avait fini par dessécher le fini, entraînant décoloration et craquelage. De toute évidence, ces dommages avaint été causés par le soleil puisque les parties du couvercle non exposées avaient conservé leurs couleur et fini lustré d’origine.

Pour des raisons d’esthétique, les pianos à queue ont besoin de plus d’espace, tandis que les pianos droits peuvent être placés contre un mur ou rangés dans une encoignure.

       Nos clients sont surpris, plus souvent qu’autrement, de constater combien d’espace un piano à queue nécessite (même un piano crapaud de 4 ½ pi). Un piano à queue perdra de son élégance s’il est tassé dans un coin et entouré de tables et de divans. D’après mon expérience personnelle, un piano à queue fera bonne figure s’il y a amplement d’espace (de 2 à 3 pi) tout autour.

       Une bonne façon de savoir quelle allure votre piano aura consiste à fabriquer un patron de coupe cartonné et de le disposer là où vous mettrez votre piano. Vous pourriez aussi vous servir comme guide d’un matelas pour un lit à 2 places ou pour un grand lit à 2 places.

 

 

 

2.  Mobilier

 

Si vous achetez un piano en tant que meuble, vous pourriez être déçu et vous rendre compte que vous n’en avez pas pour votre argent. Combien de fois des clients m’ont-ils dit que leur piano avait simplement besoin d’être accordé, ou que c’était une antiquité, ou encore qu’il avait un merveilleux fini noir lustré. Un piano c’est avant tout un instrument de musique et sa valeur est fonction avant tout du fait que c’est un instrument de musique plutôt qu’un meuble.

 

  • Nous avons dans notre entrepôt un piano au fini acajou absolument spectaculaire, et dont les pieds et la caisse sont minutieusement ouvragés. Le piano a été restauré par un ébénsite qui n’a pas touché aux mécanismes de l’instrument, si bien que tout pianiste qui se respecte exigerait que le piano soit complètement remis en état pour lui donner quelque valeur que ce soit.

 

 

3. Coût

Si vous n’avez pas les moyens d’acheter et d’entretenir un piano de bonne qualité, il serait préférable alors d’épargner plutôt que de vous contenter d’un piano de piètre qualité.


  • Les pianos à queue coûtent habituellement quatre à six fois plus cher que les pianos droits.
  • Les vieux pianos droits, réparés et restaurés, coûtent environ 1 500 $, mais vous pourriez devoir payer jusqu’à 3 500 $ pour un piano droit haut de gamme, complètement remis en état.
  • Le prix des pianos droits neufs, qui sont généralement fabriqués en Corée, au Japon, ou, plus récemment, en Chine, varie entre 3 000 $ et 7 000 $ (pour un Steinway droit neuf).
  • Les pianos à queue neufs coûtent 7 000 $ et plus, et les pianos restaurés 4 000 $ et plus.
  • Vieux pianos droits gratuits. Comme le veut le dicton : ‘’ À cheval donné, on ne regarde pas la bride ’’. Sauf que dans le cas d’un piano, il faut tenir compte des réparations qui s’imposeront sans doute, des frais d’accordage et de déménagement (bien évidemment!). Votre piano gratuit pourrait bien finir par vous coûter plus cher qu’il ne vaut.
  • D’habitude, les gens donnent leur piano parce qu’ils ne s’en servent plus. Vous pouvez donc être sûr que le piano n’a pas été accordé ou entretenu depuis des années.
  • voir le site suivant pour une elaboration sur le subjet https://www.casebrothers.com/
  • Entretenir un piano en bon état coûte environ entre 100 $ et 200 $ par année.